The labour market flexibility debate in India: Re‐examining the case for signing voluntary contracts

A major focus of India's ongoing policy debate over labour market flexibilization has been the statutory requirement that firms employing 100 or more workers cannot dismiss employees without prior government permission. The case for repealing that requirement (or greatly increasing the workforce threshold) is notably underpinned by Basu, Fields and Debgupta (2009). Here, the author challenges their particular theoretical argument for hiring and firing at will based on the voluntary signing of contracts, demonstrating that their general policy conclusion is logically unsustainable even within the framework of that model. The case for labour market flexibilization through voluntary contracting thus remains unfounded.     

Le débat sur la flexibilité du marché du travail en Inde: une contribution théorique

Le débat sur la flexibilisation du marché du travail indien porte notamment sur l'autorisation administrative de licenciement pour les entreprises de plus de 100 salariés. Le plaidoyer en faveur de sa suppression (ou de l'élévation du seuil) est étayé par Basu, Fields et Debgupta (2009). L'auteur conteste leur argumentation théorique en faveur de l'embauche et du licenciement au gré de l'employeur, avec libre signature d'un contrat, et démontre que leur conclusion politique est logiquement insoutenable, même dans le cadre de leur modèle. Le plaidoyer pour la flexibilisation du marché du travail et la liberté contractuelle s'en trouve infondé.