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1.
A l'aide de données tirées d'entrevues traitant des attitudes envers l'immigration et des droits des aborigènes dans le cadre de l'étude sur la qualité de la vie (1977), cette note essaye d'expliquer certains aspects de la dialectique de la classe sociale et de l'ethnicité au Canada. On constate ensuite la mesure dans laquelle ces attitudes diffèrent, selon la classe et l'ethnicité, dans la direction de l'éducation. Les résultats, tels que l'opposition considérable de la classe ouvriére à l'immigration et le sérieux antagonisme ethnique à l'intérieur de certain groupes ethniques de même que de certaines classes, sont dévoilés à travers des réalités telles que la division du marché du travail du point de vue ethnique, le rôle des entremetteurs ethniques et la promotion de la conscience ethnique pour étouffer la conscience de classe. Employing interview data regarding attitudes to immigration and native people's rights from the Quality of Life Survey (1977), I attempt to illuminate aspects of the dialectic of social class and ethnicity in Canada. The proportion of variance in these attitudes explicable by class and ethnicity, controlling for education, are then ascertained. Findings such as the substantial working class opposition to immigration and serious ethnic antagonism within some ethnic groups and classes are understood in the light of such things as the ethnically split labour market, the functions of ethnic antagonism within some ethnic groups and classes are understood in the light of such things as the ethnically split labour market, the functions of ethnic middlemen and the promotion of ethnic consciousness to drown class consciousness.  相似文献   

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Dans cette communication, les auteurs examinent les différences, sur le plan de la conscience de classe, entre trois démocraties occidentales, soit le Canada, la Suède et les États-Unis. Leur principale conclusion est celle-ci: le degré d'identification des travailleurs avec la classe ouvrière, la conscience des conflits de classe et la capacité d'envisager une autre forme d'organisation sociale sont sensiblement plus grands en Suède qu'en Amérique du Nord. Une telle conclusion ne risque guère de surprendre les spécialistes de la sociologie comparée des systèmes politiques, mais elle a le mérite de poser la question des origines des différences observées. Les auteurs y répondent en les faisant remonter surtout à l'après-guerre et aux différences qui ont caractérisé les conflits sociaux de la Grande Dépression. Pour eux, les dénouements respectifs de ces conflits sociaux se sont répercutés sur la distribution du pouvoir politique et le sentiment de puissance collective au sein de la classe ouvrière, qui ont à leur tour profondément influé sur la consolidation et l'extension de la conscience de classe. This paper explores the variation in class consciousness in three Western democracies: Canada, Sweden and the United States. Its main empirical finding is that Swedish levels of working class identification, conflict consciousness and capacity to envisage an alternative form of social organization are considerably higher than their North American counterparts. While this finding is not surprising to comparative political sociologists, it does provide an occasion for an argument that the differences were basically established in the postwar period and are the product of the different outcomes of the social conflict that surrounded the Great Depression. In its reduced form, our argument is that outcomes of social conflict have had an impact on the distribution of social power and the working classes' sense of collective efficacy which, in turn, have profoundly influenced the consolidation and extension of class consciousness.  相似文献   

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Cet article présente une analyse comparative des théories marxiste-instrumentaliste et marxiste-structuraliste du capitalisme d'État dans une étude de cas basée sur l'introduction de la Loi d'Assurance-Chômage canadienne de 1941. Il examine l'influence de l'accumulation de capital, du contrôle social du travail et du salaire de survie ouvrier sur cette législation. Cette analyse révèle que l'État fédéral a Créé l'assurance-chômage pour contrôler l'agitation sociale parmi les ouvriers non-employés et pour contribuer à sa propre accumulation de capital dans le contexte historique de la Seconde Guerre mondiale. Les capitalistes se sont systématiquement opposés à l'assurance-chômage d'État de 1920 à 1941, bien que leur opposition se soit quelque peu tempérée au cours de la crise des années 1930. Les organisations ouvrières ont systématiquement défendu l'assurance-chômage depuis 1919, le radicalisme de certaines de leurs revendications culminant au cours de la crise. L'État fédéral ayant imposé l'assurance-chômage malgré l'opposition des milieux d'affaires canadiennes, on peut affirmer que la théorie marxiste-structuraliste qui accorde à 1'État une certaine indépendance vis-à-vis des milieux d'affaires, ce qui lui permet de satisfaire certaines revendications de la classe ouvrière, est la théorie qui rend le mieux compte du cas présenté. Using the introduction of the Canadian Unemployment Insurance Act in 1941 as a case study, the comparative validity of the Marxist instrumental and structural theories of the capitalist state is considered. The bearing of the interests of capital accumulation, social control of labour, and labour's wage subsistence on this legislation is examined. The analysis mainly shows that the federal state introduced unemployment insurance to control unrest among the unemployed and to assist its own accumulation of capital in the context of World War II. The capitalist class consistently opposed state unemployment insurance between 1920 and 1941, although its opposition weakened somewhat during the Depression of the 1930s. Labour organizations have consistently supported unemployment insurance since 1919. The radicalness of some of their proposals reached a high point during the Depression. Because the federal state introduced unemployment insurance largely over the objections of Canadian business, it is concluded that the Marxist structural theory, in which the state displays a relative autonomy from business and thereby accommodates some working-class demands, is the most valid theory for the case under examination.  相似文献   

5.
Dans cet article, on examine la relation entre l'autocontrôle, le contrôle social et la résistance au système scolaire. Les données d'étude sont tirées d'un sondage réalisé auprès d'étudiants des premier et deuxième cycles du secondaire en Alberta. Les résultats de ce sondage penchent fortement en faveur de la General Theory of Crime (Gottfredson et Hirschi, 1990), selon laquelle la perte d'autocontrôle est le prédicteur le plus sûr de tous les types de résistance. Les résultats soutiennent l'hypothèse voulant que, si le lien entre classe sociale (ou bien genre ou appartenance ethnique) et résistance est ténu (au Canada du moins), c'est peut‐être parce que les mécanismes d'autocontrôle qui suscitent ou rejettent le phénomène de résistance ne sont pas intimement liés à la classe sociale (ou bien au genre ou à l'appartenance ethnique). Toutefois, le sexe, l'âge, la classe sociale et l'appartenance ethnique restent étroitement liés à certains ou à l'ensemble des aspects de la résistance au système scolaire même en présence d'autocontrôle. Les conclusions de la General Theory of Crime et leurs répercussions sont également abordées ici. This paper tests the relationship between self‐control, social control and resistance to school. The data source is a survey of senior and junior high‐school students in Alberta, Canada. Results offer strong support for the General Theory of Crime (Gottfredson and Hirschi, 1990) in that lack of self‐control is the strongest predictor of all types of resistance. The results support the hypothesis that if the link between social class (or gender and ethnicity) and resistance is low (at least in Canada), it may be because self‐control mechanisms that produce or repudiate resistance are not strongly linked to social class (or gender and ethnicity). Nevertheless, gender, age, class and ethnicity maintain a significant relationship with some or all aspects of resistance to school even after controlling for self‐control. Implications of the findings for the General Theory of Crime are discussed.  相似文献   

6.
Cet article évalue les effets de l'appartenance de la mère et du père à une classe - déterminée selon la théorie marxiste des classes -sur le niveau d'instruction de leurs enfants, garçons et filles, au Canada. Les données sont tirées d'un échantillon représentatif de Canadiens et de Canadiennes. Les analyses multivariables mon-trent que l'appartenance du père et de la mère à une classe influe sur le niveau d'instruction des enfants des deux sexes. Que le père ou la mère soit issu de la bourgeoisie, de la classe des dirigeants ou de la classe des spécialistes, l'enfant aura un niveau d'instruction plus élevé que celui dont les parents appartiennent à une autre classe. On a toutefois observé que seuls certains effets de l'appartenance à une classe étaient directs; les effets liés à l'appartenance à une classe semblent ne se manifester que partiellement dans les differences de niveau d'instruction des parents, qui sont liées à la classe à laquelle ils appartiennent. Les niveaux d'instruction de la mere et du père influent directement sur le niveau d'instruction des enfants des deux sexes, une fois neutralisés les effets de l'appartenance sociale des parents. De plus, les effets du niveau d'instruction du père et de la mère ont tendance à différer selon le sexe de l'enfant (le niveau d'études de la mère influe davantage sur celui de la fille et à l'inverse celui du père influe davantage sur celui du fils). Toutefois, cette tendance ne se vérifie pas en ce qui concerne les effets de l'appartenance des parents à une classe. Les analyses qui comparent les sous-échantillons d'âges indiquent que la double influence de l'appartenance des parents à une classe et de leur niveau d'instruction a diminué après les années soixante compara-tivement aux années précédentes. Les résultats sont interprétés à la lumière de la théorie du capital culturel. This paper assesses the effects of mothers' and fathers' class positions—measured in terms of Marxist class categories—on the educational attainment of male and female offspring in Canada. Our data are from a national representative sample of Canadians. Multivariate analyses show that, for offspring of both genders, the class positions of fathers and mothers influence educational attainment. Where either parent was a member of the bourgeois, managerial or expert class categories, this meant more education for the offspring than other class backgrounds. Only some proportions of the class effects were direct; the effects of class background appear to partially operate through differences in educational attainment of parents that are associated with parents' class positions. Mothers' and fathers' education levels continue to have comparatively strong positive relationships with educational attainment for offspring of both genders after controls for class categories of parents. Further, the effects of paternal and maternal education tend to be “same-sex directed” (mothers' education levels have stronger effects for daughters than for sons and vice versa for fathers' education). However, a similar pattern does not hold for the effects of parental class positions. Analyses comparing age sub-samples indicate that the influences of both parental class positions and parental education levels upon educational attainment of offspring have decreased in the post-1960 period compared with earlier years. The results are interpreted in terms of the theory of cultural capital.  相似文献   

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Cette communication est consacrée à l'évaluation de l'importance relative du procAeGs de travail, du marché de l'emploi, de l'état du marché du logement et de la vie au foyer, de la sous-culture ouvrière et des variables eocio-démographiques en tant que déterminants des croyances en matière d'éonomie chez les travailleurs canadiens. En préeentant son analyse cornparée de données provenant du Class Structure Project de 1982 et de l'Étude de l'élection nationale de 1984, l'auteur en tire deux grandes conclusions: 1/ que la place qu'on occupe sur les marchés du travail internes des entreprises influe sur toute une série de croyances en matière d'éonomie, tout comme le font l'appartenance de classe historique et actuelle; 2/que le contenu conceptuel du travail et le contrǒle social en milieu de travail n'ont qu'une faible influence sur la plupart des croyances. Ces conclusions font supposer qu'une approche de l'étude de la stratification de la classe ouvrière qui met l'accent sur toute l'expérience de vie des gens now aiderait à mieux comprendre les motifs et lea formes de la mobilisation ouvrière dans le Canada d'aujourd'hui. This research assesses the relative importance of labour process, labour market, housing market/home life, working-class subculture and Social/demographic variables as determinants of Canadian workers’ economic beliefs. Data from the 1982 Class Structure Project and 1984 National Election Study are comparatively analysed. Major findings include: 1/location in the internal labour markets within firms has an impact on a wide range of workers’ economic beliefs, as does past and present class affiliations; 2/conceptual job content and on-the-job social control have little influence on most beliefs. These findings suggest that an approach to working-class stratification which focusses on the lifelong experiences of persons should help us to understand patterns of working-class mobilization in contemporary Canada.  相似文献   

8.
Cette communication traite d'une étude dans laquelle l'auteur met à l'épreuve une théorie relative à la protection contre le crime en fonction de la classe sociale. La théorie explique, sur les plans conceptuel et opérationnel, comment les intérêts de classe et les phébnomènes qui les menacent conduisent à une société qui ‘se fortifie’ contre le crime. L'auteur démontre que les membres des classes aisées poursuivent leurs intérêts en adoptant des styles de vie et en se livrant â des activités qui accroissent les risques qu'elles puissent être la cible d'un acte criminel. Le sentiment d'insécurité accru qui en découle les amène à vouloir protéger leurs foyers et leurs failles. L'hypothèse est testée à l'aide des réponses d'un échantillon national de plus de 6000 chefs de ménage canadiens. L'analyse des réponses révèe l'existence d'une classe d'employeurs bien nantis et particulièrement actifs qui vivent dans des maisons fortifiées contre un monde extérieur menaçant. This paper proposes and tests a theory of class fortification against crime. The theory conceptually and operationally articulates the ways in which class interests and threats lead to a society that is fortified against crime, by demonstrating that persons who occupy higher class positions pursue their interests through lifestyles and activities that place them at greater risk of victimization, thus increasing their sense of concern or threat and leading to household fortification. The theory is tested with the responses of over 6000 heads of households in a national sample of Canadians. The findings identify an employer class that is especially active and affluent, and whose homes are fortified havens against a threatening world.  相似文献   

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Modelé sur l'étude des élites de corporations, faite par John Porter, ce texte met à jour jusqu'à 1972 une analyse des caractéristiques sociales de cette élite. L'étude compare les moyens de mobilité dans l'élite et la classe d'origine pendant ces deux périodes et fait voir que les voies d'accès aux corporations dominantes sont de plus en plus réservées aux membres de la classe supérieure. La mobilité de la classe ouvrière a baissé. La « compradorisation » ou la manifestation dans l'élite de la pénétration étrangère dans l'économie canadienne a favorisé une plus grande mobilité pour la classe moyenne au Canada que ne l'a fait l'élite canadienne. Il reste cependant un noyau de capitalistes canadiens puissants qui a de solides racines dans la classe supérieure. Le monde privé des gens puissants est examiné pour découvrir les rapports sociaux et la sélection sociale dans l'élite. Cet examen montre que les forces sociales traditionnelles ont téndance à devenir plus exclusives alors que des forces sociales nouvelles amènent de nouveaux types sociaux au pouvoir. Modelled after John Porter's 1951 corporate elite study, this paper updates an analysis of the social characteristics of this elite to 1972. By comparing means of mobility into the elite and class of origin for the two periods it finds that access to dominant corporations has become increasingly confined to members of the upper class. Mobility from working class origins has declined. Compradorization, the elite reflection of foreign penetration of Canada's economy, has provided more mobility for middle class Canadians than has the indigenous elite. There remains a powerful core of indigenous Canadian capitalists firmly rooted in the upper class. The private world of powerful people is examined as a means of elite interaction and selection. It is shown that traditional social forces tend to become more exclusive while new social forces bring new social types to power.  相似文献   

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Cet article se penche sur un programme de recherche qui a consigné les transitions qui ont été effectuées dans l'élite de l'entreprise canadienne et qui a enquêté dernièrement sur la formation d'une classe capitaliste transnationale. Le programme s'est concentré sur l'organisation sociale du pouvoir des grandes sociétés sous ses aspects à la fois cumulatifs et hégémoniques, telle qu'elle a été retrouvée par le réeseau des conseils d'administration interdépendants dans les plus grandes entreprises. Des événements récents au Canada illustrent les transitions qui semblent indispensables a la forme financière de l'accumulation et aux « politiques axées sur le marché» caractérisant le capitalisme néolibéral Dans l'ensemble, l'analyse du réseau démontre que la classe capitaliste transnationale ne se trouve qu'à l'état naissant malgré l'organisation sociale fournie par les réseaux internationaux et les groupes de planification de politiques mondiaux. This article reflects on a research program that has mapped transitions in the Canadian corporate elite and has more recently investigated the formation of a transnational capitalist class. The program has focussed on the social organization of corporate power in both its accumulative and hegemonic aspects, as traced by the network of interlwkmg directorates among the largest fms. Recent developments in Canada exempw transitions that seem integral to the fmancialized form of accumulation and the “market‐driven politics” that characterize neo‐liberal capitalism. Globally, network analysis shows the transnational capitalist class to be only nascent, despite the social organization provided by transnational interlocks and global policy‐planning groups.  相似文献   

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Maints auteurs ont affirmé que la race et le sexe repreésentent des bases de fractions de classe en ce sens que leur construction sociale permet à des segments d'une classe de se constituer à partir de caractéristiques liées à la race et au sexe. Cependant, les études ernpiriques antérieures tendent à considérer seulernent la race et le sexe comme des facteurs de fractionnernent au sein de la classe ouvrière seulement. À l'aide des données du recensement de 1986, cette communication analyse lea effets interactifs de la race et du sexe sur le revenu considéré comme facteur de fractionnement des classes. Les recherches de l'auteur indiquent que les effets produits par le groupement par race et par sexe sont inégaux en ce qui trait au revenu, les hommes gagnant davantage que les femmes tout en étant davantage ‘fractionnés’ par le revenu que les femmes. Lorsqu'on fait abstraction des différences de revenu entre classes, la race et le sexe demeurent des facteurs explicatifs importants du niveau de revenu, bien que leurs effets soient plus marqués chez les cadres, les professionnels et les ouvriers. L'écart entre les sexes est plus prononcé, mais la race demeure importante comme facteur de fractionnement au niveau des revenus des homrnes, měme après correction pour tenir cornpte d'autres variables. L'auteur affirme que l'assimilation des relations de sexe et de race aux relations entre classes est insatisfaisante et qu'il existe de sérieuses considérations théoriques pour considérer que les causes des inégalités entre les sexes et les races se trouvent non seulement à l'intérieur du domaine de la production, mais également à l'extérieur de celui-ci. The literature has argued that race and gender are bases of class fractions in that their social construction enables segments of a class to be constituted on racialized and gender-linked characteristics. However, previous empirical works tend to consider race or gender as fractionalizing the working class only. Using the 1986 Census data, this paper analyses the interactive effects of race and gender on earnings as grounds of fractionalizing classes. The findings indicate that race and gender groupings produce unequal effects on earnings: males have an income advantage over females, but race fractionalizes the earnings of men to a greater extent than for women. When inter-class differences in earnings are removed, race and gender remain important in explaining earnings, although their effects are stronger among the managerial, the professsional, and the working class. The gender gap is more pronounced, but race remains important in fractionalizing the earnings of men even after controlling for other variables. The paper argues that it is insufficient to subsume gender and race relations under class relations, and that there are compelling theoretical grounds to consider gender and race inequality as having roots both within and outside the sphere of production.  相似文献   

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Ce travail développe un modèle destinéà associer le taux de mobilité de l'emploi à celui de la mobilité de l'accès à une classe sociale supérieure. Les données mesurent les taux de croissance naturelle de la classe sociale supérieure de la population et les taux de croissances en chiffres des emplois supérieurs. Ces données suggèrent que durant la première moitié du vingtième siècle tout au moins, une combinaison de basse natalité parmi la classe supérieure et haut niveau d'expansion économique a permis l'infusion d'un sang nouveau dans la classe sociale supérieure de Toronto. En 1950, 40 à 50 pour cent de la classe sociale supérieure provenait de milieux de la bourgeoisie ou inférieurs à celle-ci. Ce degré de mobilité, cependant, se plie à lagarantie que tous les enfants de la classe sociale supérieure aient leur place réservée dans les emplois supérieurs; l'étude montre que ceux-ci ont pratiquement tous profité de cette possibilité. Cependant, le modèle actuel montre des différences sensibles d'avec les études antérieures. On est appeléà conclure que le bas taux de natalité associéà un bas taux de croissance économique qui semble devoir être la tendance canadienne dans cette dernière partie du vingtième siècle produira un accès beaucoup plus limité aux classes sociales supérieures, accès qui se réduirapeut-être à zéro. L'accès à ces classes sociales diminuera, non pas à cause d'une discrimination, d'un conspiration ou d'une concentration de corporations, mais uniquement à cause de la propnété privée héréditaire. Le déclin relatif du nombre d'emplois au niveau supérieur comparé au nombre d'enfants issus de la moyenne bourgeoisie cherchant à atteindre ces emplois rendra éventuellement la classe sociale supérieure aussi impérméable aux étrangers qu'elle ne l'était il y a un siècle. This paper extends a model developed to predict occupational mobility rates to the prediction of mobility into an elite. The present data measure the rates of natural increase in this elite population and the rate of growth in numbers of elite positions. They suggest that at least in the first half of the twentieth century a combination of low elite fertility and high rates of economic expansion allowed much new blood to infuse the Toronto elite. By 1950, fully 40 to 50 per cent of the elite had originated in the middle class or below. This degree of in-mobility is, however, congruent with a guarantee to all elite children of a position in the elite; and it suggests that virtually all took advantage of this opportunity. However, the implication of this present model differs somewhat from earlier studies. One must conclude that as generally low fertility and a low level of economic growth become the Canadian norm in this last part of the twentieth century, access to the elite from below will be much less than it has been, and will perhaps fall to zero. Access will diminish not because of discrimination, conspiracy, or corporate concentration, but because of private property and its inheritability. The relative decline in the numbers of elite positions compared to upper class children seeking these positions may eventually render the elite as closed to outsiders as it was a century ago.  相似文献   

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Nous analysons ici la recherche, assez mince jusqu'à maintenant, sur la conscience de sexe, selon les perspectives libérate, radicale et socialiste féministe. Nous esquissons une approche qui reconnaît que les identityés de sexe ainsi que des formes sociales plus large de consience de sexe sont construites socialement par les hommes et les femmes, dans des pratiques spécifiques à leur classe et à leur race, au travail, à la maison et dans leurs communautès. Nous appliquons ensuite cette approche à une étude de couples de Hamilton, principalement des travailleurs de l'acier et leurs conjoints. Notre attention se porte en particulier sur une dimension centrale de l'identité de sexe, la norme de l'homme comme ‘soutien de famille,’ telle qu'exprimée chez les travailleurs de l'acier dans la culture ouvrière et dans les attitudes des deux conjoints dans leurs families. Nous tentons de montrer comment le stéréotype de ‘l'homme comme soutien de famille’ est présentement à la fois reproduit et modifié, en réponse à la participation croissante des femmes au marche du travail, et en particulier à l'arrivée de travailleuses de l'acier dans ce qu'on croyait être un bastion de la masculinité ouvrière. This paper reviews the limited research to date on gender consciousness from liberal, radical and socialist feminist perspectives. An emergent approach that recognizes both gender identities and broader social forms of gender consciousness as continually constructed by men and women in class and race-specific practices within paid workplace, household and community spheres is outlined. This approach is applied to a study of Hamilton couples, especially steelworkers and their spouses. We focus on assessing expressions of one central aspect of gender identity - the male breadwinner norm - through steelworkers' shop floor culture and the attitudes of both spouses in steelworker households. We attempt to show how the male breadwinner stereotype is currently being both reproduced and modified in response to women's growing participation in paid employment and particularly the recent presence of women steelworkers within a presumed bastion of traditional working class masculinity.  相似文献   

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Using data from the World Values Survey and national‐level indicators for 24 modern democracies, we assess the influence of social class and economic inequality on preferences for government responsibility. We improve on previous research by using multilevel models that account for differences in attitudes both within (i.e., over time) and across countries. Our findings are consistent with the economic self‐interest hypothesis. Specifically, working class individuals, who tend to gain the most from government intervention because of their low and often more precarious economic position, are more likely than others to support government intervention. We also find a positive relationship between national‐level income inequality and support for government intervention. As income inequality rises, its social ills tend to be more pervasive, resulting in public opinion becoming more supportive of governments taking responsibility for their citizens. We further demonstrate that inequality moderates the relationship between social class and attitudes. Although the effect of income inequality is positive for all social classes, attitudes across social classes become more similar as inequality rises. Utilisant les données de World Values Survey et indicateurs de niveau national, nous évaluons l'influence de la classe sociale et l'inégalité économique sur les préférences en matière de responsabilité du gouvernement dans 24 démocraties modernes. Notre analyse se améliore sur la recherche précédente en utilisant des modèles à plusieurs niveaux qui tiennent compte des différences dans les attitudes au sein (ce est à dire, au fil du temps) et entre les pays. Nos résultats sont cohérents avec l'hypothèse d'auto‐ intérêt économique. Par exemple, les travailleurs ‐ qui ont tendance à bénéficier plus quand le gouvernement intervient dans l’économie en raison de leurs faibles revenus et souvent position plus précaire ‐ sont plus susceptibles que d'autres à un soutien responsabilité du gouvernement. Nous constatons également une relation positive entre l'inégalité des revenus au niveau national et le soutien à l'intervention du gouvernement. Comme l'inégalité des revenus se élève—et ses maux sociaux ont tendance à être plus répandue—l'opinion publique devient plus favorable des gouvernements assument la responsabilité de citoyens. Tout aussi important, cependant, nous démontrons également que la relation entre la social classe et les préférences pour la responsabilisation du gouvernement diffèrent par la quantité de l'inégalité des revenus dans un pays. Bien que l'effet de l'inégalité des revenus est positif pour toutes les classes sociales, les différences dans les attitudes de la classes sociale convergent que l'inégalité augmente.  相似文献   

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Plusiers travaux de recherche sur le comportement électoral canadien ont démontré la faiblesse des effets de la classe sociale sur le vote. Cet article se sert des données de toutes les enquêtes nationales électorates (national election studies) entre les années 1965 et 1984. II cherche à illuminer les rapports statistiques entre d'une part l'appui electoral pour le parti néo-démocrate et d'autre part l'éducation et le statut socio-professionel. L'analyse multivariable des données suggère que la faiblesse du rapport classe-vote s'explique à la fois par les effets contraires des variables culturelles (éducation) et économiques (statut socio-professionel) et par la façon dont ces effets, qui sont differents dans les cinq régions du pays, se mêlent et se fondent quand on les examine à l'échelle du pays entier. Nos résultats indiquent qu'au Québec et dans les provinces de l'est, il y a une politique de classe basée sur l'éducation, tandis qu'en Ontario et dans les provinces de l'ouest, c'est une politique de classe plus conventionnelle qui prime. Cette étude révèle l'importance d'analyser les divers éléments des programmes électoraux des partis pour une comprehénsion exacte de leur bases sociales dans l'électorat. In an effort to clarity the typical finding of weak class effects on voting in Canada, this article uses data from all the national election studies between 1965 and 1984 in a multivariate investigation of the relations between education, occupation and vote. The major finding is that there are cross-cutting regional effects for education and occupation on vote for the New Democratic Party (NDP) which effectively obscure one another when viewed from a national perspective. Log-linear analyses reveal a class politics based on education in Quebec and Atlantic Canada whereas in Ontario, the Prairies and B.C. we find evidence of a more conventional class politics based on occupation. The implications of these findings for understanding the overall pattern of electoral politics in Canada are  相似文献   

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Des recherches récentes aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne indiquent que l'auditoire adolescent de la musique ‘pop’ est moins homogène qúon ne le croit en général. D'après elles, des f acteurs tels que la classe sociale de provenance, le groupe ethnique et les expériences scolaires ont tous influencé la façpn dont réagissent les adolescents à la musique pop. Se servant de données canadiennes, ce texte représente un examen approfondi de la relation entre la musique pop et son auditoire composé surtout d'adolescents. On a trouvé que des facteurs comme l'âge, le sexe, la classe sociale et l'intérêt aux études, mais aussi et surtout, les délits commis et avoués, affectent le choix des adolescents dans la musique pop. On examine ensuite les conclusions d'après la formation de groupes de pairs á l'école secondaire. Recent Americian and British research indicates that the adolescent audience for pop music is less homogeneous than is frequently thought. Factors such as social class background, ethnicity, and school experiences have all been found to affect the ways in which adolescents respond to pop music. Using Canadian data, this paper represents a further examination of the relationship between pop music and its largely adolescent audience. The findings indicate that factors such as age, sex, social class, and commitment to school and, particularly, self-reported delinquency, affected adolescent tastes in pop music. The findings are then discussed in terms of peer group formation in secondary schools.  相似文献   

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La division des classes par sexe et par secteur (biens et services capitalistes ou l'état) révele differents points forts dans cinq sociétés capitalistes avancées: les États-Unis, le Canada, la Norvège, la Suede et la Finlande. À l'aide des données tirées du Comparative Class Structure Project (Étude de structure des classes comparée), la présente étude porte sur un ensemble restreint de classes (capitalistes/dirigeants, ancienne classe moyenne, nouvelle classe moyenne et classe ouvrière) déterminées a partir du niveau de maîtrise exercé sur les moyens de production et sur le travail des autres. Elle met en évidence l'mportance de faire une distinction de classes par sexe. Les résultats démontrent comment les hommes et les femmes se répartissent dans la classe ouvrière et la nouvelle classe moyenne dans les divers secteurs des cinq pays étudiés. II en ressort une forte différence entre les pays scandinaves et ceux d'Amérique du Nord. Certaines conséquences pour ce qui est des blocs politiques pour les hommes et les femmes des classes, secteurs et pays en cause sont avancées. Alors que les femmes scandinaves de classe ouvrière et de la nouvelle classe moyenne ont une base solide dans le secteur de l'état, les Nord-américaines, elles, se retrouvent surtout dans le secteur capitaliste des services, beaucoup plus faible. Les hommes de classe ouvrière dominent toujours le secteur capitaliste des biens mais ceux de la nouvelle classe moyenne se divisent par région Scandinavie/Amérique du Nordles Scandinaves de la nouvelle classe moyenne étant plus forts dans le secteur de l'état et leurs équivalents nord-américains étant plus forts dans le secteur capitaliste. Ces tendances suggèrent des bases différentes, selon les pays, pour les alliances politiques entre les classes. Division of classes by sexes and sectors (capitalist goods and services versus the state) reveals different focal points in five advanced capitalist societies: the United States, Canada, Norway, Sweden and Finland. Using data from the Comparative Class Structure Project, this paper offers a ‘minimalist’ set of class categories (capitalist/executive, old middle class, new middle class and worker) based upon commanding the means of production and the labour of power of others. The paper emphasizes the importance of distinguishing classes by sex. The results report on how men and women distribute in the working and new middle classes over sectors in the five nations, revealing a strong Nordic/North American difference. Some implications for the strength of political blocks for men and women in these classes, sectors and nations are tentatively presented. While Nordic working and new middle class women have a solid base of strength in the state sector, North American women are concentrated in the much weaker capitalist service sector. Men continue to dominate the capitalist goods sector for the working class but for the new middle class men there is a Nordic/North American split between their respective strengths, with the Nordic new middle class stronger in the state sector and the North American equivalents stronger in the capitalist sector. These patterns suggest different national bases for alliances in class politics.  相似文献   

19.
Un modèle théorique de quatre contradictions de classe est proposé pour le Canada considéré dans le contexte de ses relations avec les Etats-Unis et certains “tiers pays.” Ces contradictions s'appellent l'exploitation de la classe industrielle, l'oppression de la classe de distribution, l'oppression de la classe de consommateurs et l'oppression de la classe financière. L'exploitation de la classe industrielle trouve son origine dans la théorie de Karl Marx d'exploitation d'une classe par une autre; l'oppression de la classe financière et des classes de distribution et de consommateurs peut être considéréé comme en étant directement ou indirectement dépendante de l'exploitation de la classe industrielle. L'exploitation de la classe industrielle se trouve située à l'intérieur de la sphère de production canadienne, dans laquelle les investissements américains au Canada représentent une part considérable tandis que l'oppression des classes financière, de distribution et de consommation se trouve située dans la sphère de la distribution, qui tend àêtre plus nationalement contrôlée par la classe capitaliste canadienne. Par conséquent, la dépendance du Canada envers les Etats-Unis se trouve expliquée par la dépendance de l'oppression des classes financière, de consommation et de distribution par rapport à l'exploitation de la classe industrielle. Etant donné que les investissements étrangers dans les tiers pays provenant du Canada reflètent la division à l'intérieur du Canada entre production et distribution par nationalité, la domination relative du Canada dans les tiers pays s'explique par la dépendance de l'oppression des classes financière, de distribution et de consommation dans ces pays par des capitalistes canadiens du pays même à la dépendance de classe du Canada par rapport aux Etats-Unis par le biais de l'exploitation de la classe industrielle. Quelques conclusions ont pu en être tirées pour une théorie des transformations structurelles aux échelons national et international. A theoretical model of four class contradictions is proposed for Canada considered in the context of its relations with the United States and “third countries.”1 These contradictions are industrial class exploitation, circulation class oppression, consumer class oppression, and financial class oppression. Industrial class exploitation is rooted in Karl Marx's theory of class exploitation, and circulation, consumer, and financial class oppression are viewed as directly or indirectly dependent on industrial class exploitation. Industrial class exploitation is located within the sphere of Canadian production which is largely supported by us investment, while circulation, consumer, and financial class oppression are located within the sphere of circulation more of which tends to be indigenously controlled by the Canadian capitalist class. Therefore, the dependence of Canada on the United States is traced to the dependence of circulation, consumer, and financial class oppression on industrial class exploitation. Since foreign investments in third countries originating from Canada reflect the internal Canadian division between production and circulation by nationality, Canada's relative dominance in third countries is traced to the dependence of circulation, consumer, and financial class oppression in these countries by indigenous Canadian capitalists on Canada's class dependence on the United States through industrial class exploitation. Some implications are drawn for a theory of structural transformations at the national and international levels.  相似文献   

20.
Numerous essays exist on the lived experiences of academics from working‐class or poverty‐class origins. Yet, to date, there exists no systematic analysis of the class origins of university faculty members. This study utilizes surveys from a random sample of full‐time university professors at all 95 Canadian universities affiliated with the Association of Universities and Colleges of Canada (AUCC) to analyze the ways in which socioeconomic background impacts experiences within university and graduate school. Findings indicate that several measures of socioeconomic background are indeed significant predictors of this experience. Qualitative data reveal that working‐class faculty members are hyper‐aware of the ways in which their class backgrounds affected their educational trajectories; while conversely, academics from middle‐class backgrounds were also reflective about the ways in which they were privileged. The paper concludes with implications for developing public policy that shifts focus away from apolitical discussions of diversity, toward promoting inclusivity for those from working‐class or lower‐income backgrounds. Il existe de nombreux travaux concernant les expériences vécues par des académiques qui font parties de différentes classes sociales, particulièrement les classes ouvrières. Par contre, jusqu’à date, il n'existe aucune analyse systématique concernant les classes d'origines des membres du corps professoral qui travaillent aux universités. Cette étude utilise des enquêtes qui ont été obtenues avec un échantillon aléatoire de professeurs qui travaillent à temps plein aux 95 universités Canadiennes affiliées avec “L'association des Universités et Collèges du Canada” (AUCC). Cette étude analyse les façons que le statut socio‐économique de la famille affecte les expériences à l'université et aux études supérieures. Les résultats quantitatifs démontrent que plusieurs mesures de statut socio‐économique prédisent ces expériences. En plus, les résultats qualitatifs démontrent que les membres du corps professoral qui viennent la classe ouvrière sont très conscients des façons que leur statut socio‐économique affecte leurs trajectoires académiques. Par contre, les membres du corps professoral qui viennent la classe moyenne sont aussi conscients et même réfléchissant des façons qu'ils sont privilégiés à cause de leur statut socio‐économique. Les résultats indiquent la nécessité de développer des politiques publiques qui détourne l'attention et les discussions apolitiques sur la diversité, aux discussions sur les façons de promouvoir, aux universités, l'inclusion de ceux qui viennent des milieux socio‐économiques inférieurs et défavorisés.  相似文献   

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