OPTIMAL PRICES AND ANIMAL CONSUMERS IN CONGESTED MARKETS

We argue that congestion, when it affects the consumption of a commodity, ought to be measured by the product of the number of trips made to a seller and consumption per visit. When intensity of consumption is measured this way, uniform entry fees, the most common way of pricing congested goods, become nonoptimal. A strict user charge can be Pareto efficient. If a uniform entry fee is practiced, we present a model along with experimental data from diverse species subject groups that show consumers reduce visits and consume more per visit; this behavior may intensify the congestion problem.     

Making Food Count: Expert Knowledge and Global Technologies of Government*

Un grand nombre d'agences internationales ont mis sur pied des « rationalités » et des programmes mondiaux pour gérer des conduites sociales et économiques. En prenant comme point de mire L'Organisation des Nations Unies pour L'alimentation et L'agriculture, cet article examine la gestion à L'échelle mondiale de 1'agro‐alimentaire dans le cadre de ce que nous appelons les technologies mondiales de gouvernance. Nous nous appuyons sur les idées de Nikolas Rose sur L'expertise et le gouvernement ainsi que sur une série d'études sur le calcul statistique et la mondialisation. Nous faisons valoir que les formes professionnelles du savoir de L'expert, comme celles fondees sur des classifications et des calculs scientifiques, ouvrent de nouvelles avenues d'intervention et de transformation sociale. A wide variety of international agencies have initiated global programs and rationalities to manage social and economic conduct. Through a focus on the United Nations and its Food and Agriculture Organization, this paper examines the global management of food and agriculture within what we call the global technologies of government. In this analysis, we draw on the insights of Nikolas Rose on expertise and government, and on a range of studies on statistical calculation and globalization. We argue that professional forms of expert knowledge, such as those based on scientific classification and calculation, facilitated new spaces of intervention and new knowledges for social transformation.     

Co-operatives and agrarian transitions in coastal Ecuador: Implications for neo-liberalism

Cette communication traite des coopératives agricoles des zones cǒtières de l'Équateur sous l'angle de la transition de la société agraire vers les rapports de production capitaliste et à l'intérieur de ceux-ci. L'auteur estime que cette approche permet de saisir les grandes transformations qui sont en train de se produire entre les coopératives et le marché, mais qu'on doit chercher en měme temps à mieux comprendre comment les différentes stratégies adoptées par les habitants des zones rurales influent sur les formes organisationnelles que prennent les coopératives. Les études de cas présentées, qui font ressortir les multiples relations qui exercent une influence sur le fonctionnement des coopératives, montrent que les problèmes éprouvés par les coopératives créées lors des réformes agraires antérieures ne sont nullement solutionnés par les politiques néo-libérales en vogue aujourd'hui dans les pays d'Amérique latine. Agricultural co-operatives in coastal Ecuador are examined within the context of agrarian transitions ‘to’ and ‘within’ capitalism. It is argued that while this framework is useful for identifying broad transformations taking place between co-operatives and the market, the impact that rural survival strategies may have on co-operative organization must be made more central to the understanding of specific agrarian transitions. Case studies, which reveal the multiple relations that shape the organizational forms that co-operatives take, support the view that the neo-liberal policies currently being promoted in Latin America fail to provide adequate solutions to the serious problems that agricultural co-operatives face today.