| Abstract: | Ces dernières années l'intéret s'est accru pour les expériences des immigrants après leur arrivée dans la societé nord-américaine. Dans cet article, nous argumentons le fait que le logement, et plus spécifiquement le bail, est un sujet important bien que largement négligé en ce qui concerne la vie de l'immigrant dans la société canadienne. En utilisant des chiffres du recensement de 1986 et la structure des modèles log-linéaires, nous examinons les baux des logements des immigrants dans les différentes régions du Canada. On argumente que les immigrants sont différenciés par la culture, le temps et l'espace en ce qui concerne le bail, avec des immigrants plus récents, particuliérement ceux qui arrivent des pays en voie de développement, qui ont des taux de propriété particulierement plus bas.
In recent years interest has grown in the post-arrival experiences of immigrants in North American society. In this paper we argue that housing, and more specifically tenure, is an important, though largely neglected, issue with respect to immigrant life in Canadian society. Using data from the 1986 census and a log-linear modelling framework, we examine housing tenure among immigrants in the regions of Canada. It is argued that immigrants are a culturally, temporally and spatially differentiated sub-population in regard to tenure, with more recent immigrants, especially those from the Developing World, having substantially lower rates of homeownership. |
