Tattooing and Civilizing Processes: Body Modification as Self‐control* |
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Authors: | MICHAEL ATKINSON |
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Abstract: | Malgré la révolution en cours dans le tatouage en Amérique du Nord, les universitaires restent attachés à l'idée que les « fanatiques du tatouage » seraient des inadaptés sociaux. Dans cet article, des données obtenues au cours d'une observation participante de trois ans parmi des fanatiques du tatouage au Canada ouvrent la porte à une critique des interprétations psycho‐sociales privilégiées du tatouage comme étant une conduite irrationnelle, impliquant des risques (voir Carroll et coll., 2002; Roberts et Ryan, 2002). À la lumière de la sociologie figurationnelle (Elias, 1983; 1994; 1996), le tatouage est ici vu comme un acte de communication à caractère sociable et régi affectivement plutôt que comme un cas pathologique d'automutilation. Despite the ongoing revolution in the use of tattoos in North America, academic understandings of tattooing remain grounded in conceptions of “tattoo enthusiasts” as social misfits. In this paper, data from three years of participant observation with tattoo enthusiasts in Canada help critique preferred social‐psychological interpretations of tattooing as irrational, “risk‐taking behaviour” (see Carroll et al., 2002; Roberts and Ryan, 2002). Through the lens of figurational sociology (Elias, 1983; 1994; 1996), tattooing is interpreted in this paper as a pro‐social and affectively regulated act of communication, rather than a pathological instance of self‐injury. |
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